Salut salut,
Aujourd’hui, petit article introspectif! J’ai eu la chance par cette après-midi ensoleillée d’octobre de participer à une randonnée avec un groupe de personnes fraîchement rencontrées. Durant cette promenade, j’ai discuté avec une femme d’une trentaine d’années, que j’appellerai Carla par souci d’anonymat. Bien entendu, de fils en aiguilles, j’ai fini par lui parler du MBTI!!!!!! (je suis incorrigible :P)
Ca a eu l’air de beaucoup l’intéresser, et bien entendu, durant la discussion, j’en suis venu à parler de l’application que l’on peut faire du MBTI dans les relations amoureuses. Je lui ai expliquée que souvent, nous avons tendance à modifier un peu nos préférences : les introvertis se rendent plus extravertis, les perceptifs plus ordonnés, les sensoriels plus enclins à des jeu d’imagination etc. Pour résumer l’idées, les opposés s’attirent. Et cette attirance est souvent sincère (à croire que notre esprit sait de lui-même que l’équilibre est sans doute une bonne chose ^^ mais je m’égare). Or, notre préférence psychologiques vont forcément jouer un rôle majeur dans la manière dont nous nous comportons au quotidien dans notre vie et comment s’organise celle-ci. Donc, au bout d’un moment, sans doute lorsque la passion retombe un peu et que le couple connaît les joies de la vie à deux, nos préférences refont surface et vont, parfois, se heurter les unes aux autres lorsqu’elles sont trop différentes.
Cela donnera des situations dans ce genre là : un S demande à une N si elle veut faire de la randonnée ou de l’escalade, elle répond que ça fait longtemps qu’il n’ont pas fait d’escalade. Il s’indigne en disant que ses réponses ne sont jamais clair, alors qu’elle lui a dit, de son point de vue, que le fait qu’ils n’en aient pas fait depuis longtemps sous-entendait qu’elle voulait s’adonner à cette activité-là.
Le problème est que parfois, lorsque ces différences de comportement créent de la frustration de manière répétée, des années durant, dans un couple, cela peut finir par causer de réels problèmes. Aussi, cette chère Carla m’a demandé s’il était possible de savoir à partir du MBTI à quel moment ce type d’incompatibilité apparaîtrait. Je vais répondre en tout honnêteté, je ne le sais pas, et je pense que ce n’est d’ailleurs pas possible. Après tout, un être humain est déjà fort complexe, donc si on ajoute à cela le fait qu’il faut anlyser son interaction avec un second être humain je pense qu’on s’aventure sur un terrain glissant. Cependant, je vais donner un début de réponse que j’essaierai de développer plus en détails dans un prochain article.
Chaque groupe a ses propres forces pour venir à botu des difficultés de communication, de compréhension ou d’organisation de vie que rencontre chaque couple. Par exemple, les P seront plus enclins à se remettre en question, tandis que les J, si leur décision de faire fonctionner la relation est prise, mettront tout ce qu’ils peuvent en oeuvre pour que ça fonctionne.
Néanmoins, chaque groupe, en gagnant en maturité, comprend mieux ce qu’il attend et comment fonctionne son partenaire. De plus, il a été observé par les psychologues utilisant cette méthode dans les conglits matrimoniaux, que le simple fait d’expliquer à chaque conjoint lees préférences de l’autre améliorait la relation, car cela leur montrait que l’autre ne fait pas sa mauvaise tête, mais qu’il est naturellement ainsi.
Voilà, un court article sur une piste de réflexion que je vais essayer de creuser,
Je te dis à bientôt,
MBTI vôtre,
L
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