Bien le bonjour à vous!
Cet article est le tout premier de mon blog. Il débute une liste de plusieurs articles qui auront pour objectif de poser les bases de ce qu’est la classification MBTI®. Je ne commencerai pas directement ici les définitions légèrement pompeuses permettant de comprendre comment se construit cette classification. Au contraire, je vais essayer de mettre en avant les aspects de cette théorie qui la rendent si sexy ! 😉
Cette classification se fonde sur notre fonctionnement psychologique : chaque être humain utilise avec plus ou moins de facilité ses capacités d’interaction avec le monde extérieur, d’introspection avec son monde intérieur, d’observation par le biais de ses cinq sens, ou de compréhension grâce à son imagination. Bien que nous soyons tous capables d’utiliser l’ensemble de ces capacités, nous nous reposons différemment sur chacune d’entre elles. C’est pourquoi certaines personnes donneront l’impression de ne pas réfléchir avant de parler, que d’autres seront très discrètes, que certaines personnes seront enthousiasmées par une soirée seules dans leur appartement devant un bon film, ou au contraire, à un concert avec tous leurs amis ! De façon surprenante, notre façon d’employer ces capacités crée la gigantesque diversité de personnalités de notre monde.
Or, il est possible d’estimer dans quelle mesure un individu emploie chacune de ces capacités cognitives. Le MBTI® repose sur l’identification de ces préférences, mais également leur classement en 16 groupes distincts !
Je pense qu’en lisant cela, vous aurez bien entendu compris que malgré l’existence de ces 16 grandes catégories, chaque personne reste unique. Néanmoins, ces différents types permettent de comprendre mieux le fonctionnement psychologique de nos pairs ainsi que leurs décisions et choix.
Dans le prochain article, j’expliquerai comment sont construits ces 16 groupes.
Bien à vous,
L
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